On dort les uns contre les autresOn vit les uns avec les autresOn se carresse, on se cajoleOn se comprend, on se consoleMais au bout du compteOn se rend compteQu'on est toujours tout seul au monde...
(Michel Berger/Luc Plamondon)
Songe encor que la terre aux si beaux paysages Où tu baignes d’azur tes yeux émerveillés, Oui, songe que, depuis des ans multipliés, Le sol est plein de morts qui n’ont plus de visages. Pourtant, ils sont venus au cours pressé des âges Dans ces bois qui jadis leur furent familiers, Et rien, au pied moussu des arbres effeuillés, N’a retenu les noms et marqué les passages.
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